@MJ : Possible d'avoir une carte de l'avancée des troupes dans les plus brefs délais ? Merci
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Operacija "PESAK" II
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Un peu de musique
01 janvier 2024
Le porte-avions "Pregrada", l'un des joyaux très symbolique de la flotte kirépienne. Bâti en 2015 sous le règne gakiste, le porte-avions a tout d'abord arboré le nom de "la ville la plus communiste du Kirep" avant d'être sobrement rebaptisé "Bogoljub I".Son nom d'origine sera vite rétabli suite à la Révolution de Franjo Tadac.
Rappel :
Les ronds rouges représentent les "meutes" de sous-marins kirépiens. Les nombres 5 et 10 désignent les submersibles les composant.
Flotte du blocus :
- 50 sous-marins
- 1 porte-avions transportant 40 appareils
- 10 croiseurs lance-missile
- 5 destroyers lance-missile
- 5 frégates
- 20 patrouilleurs
Flotte du blocus aérien :
- 140 avions de combat
- 7 Irkout-40 furtifs
— Le blocus mis en place s'articule autour d'un système dit de "lignes".
Première ligne : Les
50 sous-marins couvrent tout le pourtour de la flotte. Ces-derniers restent regroupés dans une tactique dite de "meute". Ces "meutes" se composent de 5 à 10 sous-marins qui naviguent presque côte-à-côte et qui peuvent attaquer simultanément une flotte ennemie. Ce système, très efficace, permet d'encercler l'ennemi et de le frapper de tous côtés, comme si des sous-marins étaient de simples hommes de troupe ou chars. Ces submersibles classe "Vliduj Gak" ont ainsi pour ordre de repérer, avec leur sonar/radar, tout navire ennemi et d'en avertir la flotte du blocus. Les meutes communiquent et coopèrent entre elles,
elles ont pour ordre de détruire toute flotte militaire s'approchant du Pesak (sauf les navires de l'URCM/FROPT/Tcherkessie/Esmark si ceux-ci venaient).
Deuxième ligne : Les
10 patrouilleurs qui naviguent dans le dispositif militaire kirépien patrouillent de part et d'autres de l'archipel 24h/24. Ils sont en constante communication avec le navire-amiral de la flotte (le croiseur
"Metenica") et rapportent tout ce qui se passe sur la Mer de Carù à l'instar des sous-marins.
Troisième ligne : Les
5 frégates kirépiennes participent indirectement au blocus. Equipées d'un lance-missile, de torpilles et d'un canon de 62mm, celles-ci se contentent d'offrir un soutien aux troupes au sol si ces-dernières le demandent. En cas d'attaque du blocus, elles prennent bien évidemment part à sa défense.
Quatrième ligne : Les
5 destroyers lance-missile kirépiens, avec leur sonar, s'occupent de repérer un éventuel sous-marin ennemi qui aurait, par chance, réussi à traverser le dispositif. Les destroyers sont placés tout autour des croiseurs de manière à le défendre de toute menace.
Cinquième ligne : Les
10 croiseurs kirépiens dont le navire-amiral
"Metenica" forment l'ossature du blocus. Cachés derrière les sous-marins, les patrouilleurs, les frégates et les destroyers, ils peuvent apporter leur soutien aux troupes au sol. Cinq d'entre-eux se tiennent de part et d'autre du porte-avions afin de lui offrir un soutien optimal que ce soit contre les menaces sous-marines/terrestres/marines et aériennes via leurs batteries de DCA.
Sixième ligne : Le porte-avions "
Pregrada" kirépien, transportant à son bord 40 appareils, est l'ultime rempart du blocus. Protégés par une cohorte de croiseurs, eux-mêmes protégés par des destroyers, etc..., il ne participe pas au blocus aérien et ses 40 avions soutiennent les troupes kirépiennes au sol.
— Le blocus aérien, mis en place il y a peu, concentre en tout
140 avions de combat organisés en escadrille. Ils se relaient jour et nuit pour assurer que l'espace aérien de Pesak ne soit pas violé par un quelconque avion ennemi. Ils ne participent pas aux opérations au sol. Ils communiquent directement avec le porte-avions
"Pregrada" ainsi que la métropole kirépienne afin de signaler le plus promptement possible une intrusion.
Les
7 Irkout-40 furtifs, eux, servent d'avions éclaireurs et ont pour ordre de quadriller tout le pourtour de Pesak afin de signaler directement toute intrusion à la flotte aérienne. Ils peuvent participer aux bombardements au sol si les troupes le demandent.
— Secret : La RPDPK demande à la République Fédérative Socialiste de Tcherkessie (elle aussi communiste), toutefois si elle l'accepte, de l'avertir le plus discrètement possible afin de ne pas la discréditer, de tout mouvement militaire ennemi tant au Coorland (B23) qu'en Kletssie (B22) que sur mer et dans les airs.
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Tankistes d'un char-léger Km-84 kirépien enfoncé dans les terres pésakiennes. Ils s'attendent à tout, même à l'arrivée d'une attaque foudroyante blindée pésakienne.
Rappel :
Troupes au sol
D1 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D2 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D3 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D4 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D5 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D6 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D7 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D8 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D9 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
D10 :
- 5 000 soldats réguliers
- 200 chars légers
- 200 blindés légers
- 5 hélicoptères de combat
Bien que les débarquements se soient partout soldés par des succès retentissant. Permettant au Kirep d'avoir un pied à terre sur
toutes les îles de l'archipel de Pesak, l'Etat-major kirépien n'était pas satisfait. Environ 4 000 soldats étaient morts, en somme, sur 50 000, ce chiffre ne symbolisait rien, mais c'étaient 4 000 de trop. Surtout après les ordres donnés comme quoi "tout le monde reste dans son véhicule". Ce chiffre, comme les massacres orchestrés par des soldats furieux, montrait l'indiscipline d'une armée qui était tout de même la cinquième au monde. Ni une ni deux, les
"bouchers de Rucka", comme on les appelle, ont été directement rapatriés en métropole et exclus de l'Armée Populaire Kirépienne pour le motif de "comportement indigne". Cette sanction doit servir d'exemple à tous les soldats se rendant coupables d'exactions sur les populations innocentes. Pour compléter ceci, de nouveaux officiers ont été nommés dans les régiments suspectés de "barbarie". Ceux-ci doivent bien sûr abreuvés les soldats de slogan et de chants patriotiques tout en cultivant leur haine pour ces maudits pésakiens qui cherchent à leur nuire, néanmoins, on reporte leur haine sur les combattants pésakiens et non plus les innocents. Après ce rapide rappel à l'ordre de l'Etat-major kirépien, les soldats ont reçu leurs nouveaux ordres :
— Etablir des têtes de ponts solides là où ils ont débarqué sur toutes les îles.
— Se lancer immédiatement dans la conquête de toutes les villes selon le modèle suivant :
D1, se divise en deux et fond vers les villes de
Buzetgrad et
Crevna. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D2, se divise en deux et fond vers les villes de
Ribari et
Aïas. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D3 fond vers la villes de
Makarska, chef-lieu de l'île de Surdup. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D4 fond vers la ville de
Devetak (ville fortement kirépienne). Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D5, se divise en deux et fond vers les villes de
Zelena et
Jelino. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D6 fond vers la ville de
Rucka. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D7 fond vers la ville de
Jelino. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes, suppléés par les 2 500 soldats de D5, s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D8 fond vers la ville de
Metenica. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. La prudence est de mise. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D9 fond vers la ville de
Plavi. Les soldats ont l'ordre strict de rester dans leurs blindés et d'éliminer toute résistance. Une fois ces deux villes sécurisée, en apparence, les 5 000 hommes de troupes s'assureront le contrôle du commissariat, de la mairie et tous les autres lieux importants. On propose à la police de se rallier aux troupes kirépiennes et de maintenir l'ordre dans lesdites villes, le cas échéant, les policiers seront désarmés. Ordre scrupuleux de ne pas s'attaquer à la population sans motif valable. La prudence est de mise. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
D10 fond vers la frontière kletssite dans le but de neutraliser les garde-frontières pésakiens. Une fois ceux-ci neutralisés, ou ralliés à la cause d'Ophrone, l'unité se préparera à la défense de celle-ci face à toute attaque militaire d'origine étrangère. Les hélicoptères de combat font office d'éclaireurs et apportent un soutien direct aux troupes au sol en cas de menace ou pour disperser une foule hostile. Si barricades il y a, celles-ci sont impitoyablement pulvérisées par les chars kirépiens.
La capitale, Kalup, est volontairement épargnée par les offensives kirépiennes. Non pas par pitié, mais les stratèges kirépiens savent que sa prise sera difficile. Celle-ci suivra une fois que tout sera prêt.
--> Les 40 appareils du porte-avions "Pregrada" continuent d'offrir un soutien permanent aux troupes au sol et chassent tous les véhicules et formations ennemies visibles sur l'archipel.
— Secret : 30 000 soldats kirépiens, au total, arrivent en renfort dans l'archipel le plus rapidement possible. Ils constitueront les troupes de sécurisation des îles et prépareront la future lutte contre la guérilla qui tend à s'engager. Ils sont déployés comme suit : 10 000 sur Valjevo, 10 000 sur Surdup, 10 000 sur Metenica. Une fois les villes prises par les troupes d'assaut blindées, ils suivront et auront pour ordre d'établir une discipline de faire dans les villes. Ils seront rejoints par 350 policiers spéciaux de la Surigimi (services secrets kirépiens).
Leur mission est la suivante :
— Prendre le contrôle des pipelines de gaz et des champs de tabacs pésakiens, si chers à l'économie kirépienne.
— Se répartir dans les villes de chaque île et prendre position dans tous les bâtiments officiels (commissariats, mairie...). Ils ont pour but de sécuriser totalement les villes et de maintenir l'ordre avec des sanctions sévères et exemplaires, dans le but d'étouffer toute volonté de résistance de la part des habitants de l'archipel :
- - Pour toute agression verbale envers un soldat kirépien 1 homme sera déporté dans les camps de travail au Kirep et le ou les éventuels coupables fusillés.
- Pour toute agression physique à l'encontre d'un soldat kirépien 25 hommes et 5 femmes seront déportés dans les camps de travail au Kirep et le ou les éventuels coupables fusillés.
- Pour tout acte de sabotage visant les forces kirépiennes, 45 hommes et 15 femmes seront déportés dans les camps de travail au Kirep et le ou les éventuels coupables fusillés.
- Pour tout acte de résistance armée 80 hommes et 50 femmes seront déportés dans les camps de travail au Kirep et le ou les éventuels coupables fusillés.
- Un couvre-feu est mis en place de 19h du soir jusqu'à 9h du matin, pendant lequel aucun Pésakien n'est autorisé à sortir de chez lui, les rues sont sous contrôle kirépien.
Tout Pésakien ne respectant pas le couvre-feu sera déporté au Kirep.
- Les Pésakiens ont pour mot d'ordre de rester dans leurs villes, celles-ci dépendront ainsi de l'approvisionnement kirépien (demandant donc aux rebelles de faire un choix, se rendre coupable de la famine des Pésakiens qu'ils prétendent défendre ou laisser les ravitaillements kirépiens se faire.
Tout Pésakien sortant du périmètre de sécurité de 50m autour de chaque ville sera déporté au Kirep, ou a défaut de pouvoir le capturer vivant : fusillé.
- Les soldats kirépiens doivent privilégier le contact avec la population non-hostile.
- Aucun soldat kirépien ne doit rester isolé, tous les soldats doivent au moins en groupes de dix hommes en zones urbaines.
Ainsi, on espère au mieux faire respecter l'autorité d'Ophrone et pacifier la majeure partie de la population pésakienne qui croit que résister pour un pays qui n'existe pas est un acte brave et noble. Désormais, ils réfléchiront à deux fois avant de vouloir jouer aux héros.
— Les
350 hommes de la Surigimi qui se répartiront sur toutes les îles (ainsi, il y en aura
100 pour Surdup, Valjevo et Metenica tandis qu'il n'y en aura que
50 pour Devetak) ont pour tâche d'effectuer les missions suivantes :
- - Relever les noms de tous les nationalistes/libéraux/fascistes pésakiens ainsi que ceux de leurs familles et de leurs proches et les interpeller.
- Relever tous les noms des parlementaires pésakiens ainsi que ceux de leurs familles et de leurs proches et les interpeller.
- Prendre possession des registres de toutes les villes du pays afin d'avoir le nom de tous les Pésakiens citadins.
- Prendre le contrôle de la police pésakienne pour que celle-ci agisse pour le Kirep.
- Prendre le contrôle des mairies des villes pésakiennes afin de nommer des communistes dans ces-dernières.
- Recourir à la propagande pro-kirépienne : le Kirep est ton ami !
Cette répression à la fois à la surface et en profondeur permettra, on l'espère, de réduire à néant les possibilités de résistance des Pésakiens tout en leur donnant l'espoir d'une vie meilleure sous le Kirep.
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Les événements secouant le Pesak étant désormais publiques, Franjo Tadac, grand-secrétaire du Peuple de la République Prolétarienne Démocratique et Populaire du Kirep émet quelques clarifications quant à la mission de l'Armée Populaire du Kirep :
<center>

</center>
Messieurs,
Trop longtemps l'archipel du Pesak, se faisant appeler sous le nom pompeux "Etats-Unis du Pesak", a menacé la Révolution kirépienne, de par son égoïsme et en se plaçant comme un pantin des puissances étrangères néfastes. Une fois encore, les Pésakiens se sont déclarés indépendants de manière unilatérale et en quelques minutes, cette déclaration même montre le manque de maturité des pseudo-dirigeants du Pesak. Pesak, cette terre qui a toujours été kirépienne, parlant une langue similaire mais ayant les mêmes coutumes que nous. Ceci n'est n'est pas une invasion : c'est une opération de maintien de l'ordre dans cette région qui est de facto kirépienne. Cette région qui, sous les pressions étrangères veut se placer comme le fer de lance du "libéralisme" et de la "démocratie", renie son héritage kirépien et va même à tuer dans de véritables pogroms certains de nos frères kirépiens. C'en est bien trop pour nous.
Aujourd'hui, Pesak va redevenir une terre kirépienne à part entière par l'éviction de ses élites corrompues jusqu'à la moelle par certains pays néfastes cherchant délibérément notre affaiblissement. Aujourd'hui, le Kirep ne fera qu'un même pays uni face à l'adversité et à une pseudo-communauté internationale plus qu'arrogante. [...] ayant eu vent des débats à l'AdE de la création d'une coalition anti-kirépienne, je mets vivement en garde les messieurs de cette "assemblée" ainsi que tous les pays qui veulent combattre la lutte pour la liberté de millions de Pésakiens : toute entrave dans l'opération de normalisation de la région de Pesak équivaudrait à une déclaration de guerre à la République Prolétarienne Démocratique et Populaire du Kirep ainsi qu'à ses alliés.
Que la paix et la prospérité illumine ce monde.
Franjo Tadac, président de la RPDPK.