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האנשים
Le Peuple
9 juillet 2041
Critiques cinéma
שחרור
La LibérationVéritable pépite du cinéma d'animation shnieretzéen! Porté par des musiques incroyables, majestueuses et inspirantes, le dernier-né de Mordechai Morgenthau est splendide. Le dessin est esthétiquement très beau et les interprètes des différents personnages semblent totalement habités par leur rôle.
C'est simple: c'est un incontournable!
Quelques critiques peuvent néanmoins lui être adressées comme l'absence de certains épisodes présents dans le Shemot, la transparence d'Aaron et quelques libertés scénaristiques. Cependant, à moins d'être un individu très orthodoxe, cela ne devrait pas constituer un problème, bien au contraire car cela rend l'histoire plus agréable pour le format cinéma - ce qui en fait une excellente manière de (re)découvrir l'histoire de notre peuple.
NOTE: 5/5EXTRAIT:
מלך דבאלקיה
Le Roi de DalvaquieLe film n'est pas encore sorti qu'il suscite déjà un certain engouement dans certaines nations, comme en Ölan, et la polémique dans le nôtre, essentiellement depuis les rangs de la minorité valdaque qui - malgré l'accent porté sur l'actuel Président du pays est-dytolien - considère que le film ressemble d'avantage à une moquerie "bête et méchante" des valdaques.
Qu'en est-il réellement? Ayant eu le privilège de regarder le petit dernier de Stijn Greenberg afin d'écrire cette critique, nous pouvons affirmer que s'il est vrai que - comme dans tous les films de ce réalisateur - les valdaques sont moqués mais pas plus que les autres groupes représentés (comme les ennissois ou les lébiriens). La cible du film est véritablement Petru Ursachi mais sans jamais tomber dans la méchanceté gratuite.
Le film est globalement assez réussi dans sa catégorie de comédie parodique, ce qui n'est pas une surprise étant donné que Greenberg en a fait sa spécialité. Les acteurs sont convaincants (notamment Jacob Peres qui parvient à ne jamais tomber dans le surjeu) et les blagues font (presque) toujours mouches. Petit bémol cependant: parfois, celles-ci sont trop nombreuses et s'enchainent trop rapidement au point qu'on se demande presque si on regarde un film ou une compilation de blagues sur les ethnies ou la politique. Heureusement, ce genre de moment est assez rare et le reste du film est très agréable à regarder.
NOTE: 4/5
Le shabbat (שבת) - ou chabbat - est sans doute un des éléments majeurs du judaïsme. Institué par la Torah, il s'agit du jour de repos assigné le samedi qui débute dès la tombée de la nuit du vendredi soir et se termine le samedi soir. Plus précisément, au Shnieretz, il débute le vendredi, 40 minutes avant le coucher du soleil (le Tosefet Shabbat - la période de shabbat avant le coucher du soleil du vendredi - du Shnieretz étant fixé sur celui de Hiérosolyme), et termine le samedi, après l'apparition de 3 étoiles moyennes dans le ciel, soit environ 40 minutes après le coucher du soleil. Le shabbat est un jour durant lequel le juif ne doit plus "faire" mais "être". C'est un jour durant lequel les activités extérieures doivent être réduites (voir proscrites) afin de se concentrer sur sa famille, son foyer et sa foi."Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier.
Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié."
- Exode 20:8-11
Kugel (קוגל): Le kugel (prononcé "kouguel") est un plat directement issu de la cuisine juive ashkénaze. Composé essentiellement de nouilles, d'oeufs et de pommes de terre, il est souvent consommé comme plat principal mais peut également être servi comme dessert. Fréquemment servi avec le tchoulent (voir ci-après), il peut être sucré ou salé.
Tcholent (חמין): Le tcholent, ou cholent, est la variété de hamin (le ragout mijoté à feu doux typique de la cuisine juive) de la communauté ashkénaze. Il se compose d'orge perlé, de pommes de terre, de haricots et de viande de boeuf qui ont mijotés pendant une nuit entière (permettant ainsi de respecter l'interdiction de cuisiner durant le shabbat tout en mangeant un repas chaud). Il peut être agrémenté de tripes farcies (kishke) ou de cous de dinde farcis, parmi d'autres accompagnements. Le tcholent est la spécialité gastronomique de l'État du Jodenland qui organise - par ailleurs - un festival annuel autour de ce plat typique de la culture juive et shnieretzéenne.
Bagel (כעך): Le bagel, baguel ou beguel, est un petit pain fait d'une pâte au levain naturel. Universellement reconnaissable à sa forme d'anneau typique et à sa texture très ferme, il est cuit brièvement dans l'eau avant de passer au four. Apporté par les juifs ashkénazes, le bagel est extrêmement populaire au Shnieretz comme snack, où il est consommé nature ou agrémenté de divers aliments comme du fromage, du saumon fumé, des oignons frits, ...etc. Le bagel peut également être aromatisé avec des graines de sésame, de pavot ou de carvi. Considéré du fait de sa popularité comme LE plat national shnieretzéen, il fait l'objet d'une fête nationale, le 7 mars.
Hallah (חלה): La hallah est un pain à la consistance riche et proche de la brioche sans beurre. Très souvent tressé, il est traditionnellement consommé par les juifs lors du shabbat et lors des fêtes juives (à l'exception de Pessa'h où le pain levé fait l'objet de restrictions religieuses). Bien entendu, il est également consommé par les shnieretzéens non-juifs. La hallah est composée d'un très grand nombre d'oeufs, de farine blanche et du sel (selon la tradition ashkénaze) ou du sucre (selon la tradition séfarade). Souvent badigeonnée avec un oeuf afin de la faire dorer lors de la cuisson, la hallah est parfois agrémentée de graines de pavot ou de sésame. A l'occasion de la Rosh Hashana (le nouvel an juif - fin septembre/début octobre), il est très courant de trouver, dans les boulangeries, des hallah aux pommes, aux raisins ou au miel qui ont la particularité de ne pas être tressées mais enroulée, afin de symboliser le cycle de l'année.
Dafina (דפינה): La dafina est un plat shnieretzéen directement issu de la gastronomie juive séfarade. Il s'agit de la variété séfarade de hamin. Elle est composée d'haricots et d'épinards. On y rajoute parfois de la viande de boeuf, des pommes de terres, des oeufs ou du blé. La dafina est consommée seule ou avec du couscous.
Msoki (מסוקי): Le msoki, ou msouki, est un plat shnieretzéen trouvant ses origines dans la cuisine des juifs originaire du nord de l'Algarbe. Traditionnellement consommé pendant le Pessa'h, il s'agit d'un ragout d'agneau et/ou de boeuf avec plusieurs variétés de légumes de saison. On y ajoute occasionnellement du matza, un pain non-levé habituellement consommé pendant Pessa'h, qui ramollit durant la cuisson. Le msoki est la spécialité gastronomique de l'État de Zuidmeer.
Waterzooï (ווטרזואי): Le waterzooï est une soupe-repas directement issue de la cuisine de l'ancienne métropole néerlandaise. Extrêmement populaire dans les États de l'Est où il sert notamment de plat dominical dans la plupart des familles chrétiennes d'origine néerlandaise, il est composé de poulet ou de poisson, de légumes et d'un bouillon lié à la crème ou au beurre. On y ajoute fréquemment un demi-verre de bière en fin de cuisson. Dans l'ouest du pays, à la place d'un demi-verre de bière, on préfère généralement ajouter un demi-verre de vin blanc demi-sec et fruité.
Shawarma (שווארמה): Le shawarma est un plat typique de la région céruléenne de Marquésie, apportée au Shnieretz par les juifs provenant de cette région du monde. Consommée principalement sous forme de sandwich dans un pain pita, elle est composée de viande de poulet, d'agneau ou de boeuf, salées et marinées dans un vinaigre de vin rouge épicé, qui ont été grillées verticalement sur une broche tournante. Le plat jouit d'une certaine popularité dans les principaux centres urbains du pays, notamment chez les jeunes qui le surnomment "Revetsh Alkehlel" (רוצח אלכוהול) qui signifie "Tueur d'alcool" et fait référence aux qualités prétendues du plat pour réduire l'impact de l'alcool sur le corps des jeunes fêtards.
Saimin (סיימין): La saimin est un plat contemporain de la gastronomie shnieretzéenne, inspirée par les différentes cultures ventéliennes installées sur le sol du Shnieretz. Elle consiste en des nouilles servi dans un dashi (un bouillon d'origine teiko de poisson) chaud et garni d'oignons verts coupés en dés et de fines tranches de kamaboko (un aliment d'origine teiko à base de poisson blanc du type du surimi). Cette soupe de nouilles est agrémentée de différents aliments issus de la cuisine ventélienne, variant selon les établissements les cuisinant. En règle général cependant, les aliments qui l'agrémentent sont du haidai (une algue consommable d'origine ventélienne), des crevettes et des fines tranches de boeuf.